Journal, Edition Mai-Juin

L'ART DE PARLER POUR NE RIEN DIRE

Une nouvelle édition de la gazette, avant de me faire massacrer par les membres enragés, la bave aux lèvres. Non pas que ça me déplaise, d'ailleurs, héhé! Hum. Je vais me taire avant de flinguer ma réputation.
Le forum avance, les mois se suivents et ne se ressemblent pas, et c'est comme une bulle d'oxygène après une période d'apnée...Voilà bien longtemps que je ne m'étais pas connectée sur le forum avec une telle soif de lire les dernières réponses, découvrir les dernières intrigues, ce que vous avez (encore) inventé! Et le soleil, le soleil qui revient, qui brille, qui scintille là haut et qui nous offre une superbe lumière; lumière écrasante, lumière qui nous revigore après les longs mois gris. Pour nos amis cavaliers, c'est la période des baignades et des douches qui se profilent, l'heure des balades et des jeux d'été, des naissances aussi. Bientôt les poulains vont gambader et tricoter avec leurs adorables et si longues jambes de bébé...Le cheval, quel plaisir! Ce n'est pas pour rien, si on l'aime autant...trouvez moi un animal s'attachant aussi fortement à l'homme, un animal aussi complice de l'homme, qui partage de si longs moments de vie avec lui? Un être qui puisse nous procurer de telles sensations de liberté? Parce qu'à cheval, à cheval à l'ère de la voiture et de l'avion, on est plus libre que jamais! Pour peu que notre monture soit d'attaque et partante, le plaisir de s'élancer au galop sur un chemin dégagé est de ceux que la technique n'égalera jamais. Comment appuyer sur l'accélérateur pourrait-il rendre la même sensation que ce mouvement rythmé, balancé, comme un bercement tendre et régulier, la puissance des muscles de l'animal sous nos genoux, la vigueur qu'on sent et qu'il parvient à nous communiquer jusqu'à ce que nous aussi, nous nous laissions griser par la vitesse? Une voiture roule à 200km/h, un cheval galope à 60km/h au grand maximum, pourtant c'est lui qui nous grise le plus vite. Il est fort, rapide, beau et puissant; il est coopératif et proche de l'homme. Le cheval, à en juger par son attitude, partage notre excitation, notre plaisir, peut-être en d'autres proportions car il n'est pas humain, mais cheval. Et puis, une voiture n'a jamais fourré son nez dans votre cou après un câlin, une voiture ne respire pas, on ne peut pas l'emmener brouter, lui parler et voir ses oreilles pivoter pour nous écouter. Une voiture ne peut pas se montrer espiègle, joueuse, grognon ou juste excitée.
Pourquoi est-ce un tel plaisir de monter à cheval? Sûrement pour la relation...franchir la barrière entre deux espèces est un vieux rêve d'humain, et avec le cheval...l'animal qui nous accueille d'un petit hennissement bas de gorge, qui nous suit du regard, l'animal curieux qui tient absolument à tripoter ce balai que nous manions, l'animal malin qui sait bien comment il peut obtenir de nous attention ou friandises, l'animal vigoureux qui nous accompagne dans nos balades et nous communique sa force et son excitation, le cheval est peut-être bien notre ami. Mais une conquête, comme le disent certains? Jamais. Pour faire un pas de plus, je dirais même que nous sommes la conquête du cheval! Après tout, le cheval n'est pas à nos ordres; si nous voulons galoper, et pas lui, il n'aura pas envie de courir juste pour nous faire plaisir. S'il ne veut pas qu'on l'attrape au pré, vous pourrez toujours ordonner, il partira la queue en panache! Mais nous...nous cavaliers, qui passons des heures au poney-club, à leur parler, à les regarder, les chevaux. Nous, cavaliers qui saisissons la fourche pour faire les boxes et nourrir, pour abreuver, qui décrassons pendant de longues minutes un cheval boueux, qui vérifions le moindre petit bobo, restons pour veiller un animal malade...peut-être sommes nous, nous, la conquête du cheval? Car après tout, quand on enfourche un cheval...c'est pour la vie! Jamais on n'en redescendra, n'est ce pas...? Et puis, être cavalier c'est l'être tout le temps; c'est penser au cheval et chercher à le comprendre, en selle, c'est le respecter inconditionnellement, même le pire enquiquineur, même le plus traîne-la-patte des poneys, c'est se remettre en question sans cesse. C'est aimer l'animal et c'est en prendre soin, par passion, et vouloir s'en approcher encore. Essayez donc de faire ça avec une voiture!
Certains croient que le RPG cheval est un jeu immature...en quoi? C'est un plaisir de passionnés, comme l'est n'importe quel jeu de la sorte. Après tout, les conducteurs qui ne parlent que de leur voiture, dit-on d'eux que c'est immature? Non...ceux qui parlent de chiens, de chats, les qualifie-t-on comme tel? Le RPG, ce sont certes des personnages équins humanisés, mais au final, c'est bien d'eux, les chevaux, qu'on cherche à se rapprocher en jouant à "être eux". Combien d'années que je monte à cheval? Je sais que je n'arrêterai jamais. Le cheval est comme un garant de mon équilibre, une bulle d'oxygène qui purifie l'air au fil des ans, un plaisir, une base...pourquoi aime-t-on tant le cheval de nos jours? Il n'est plus un moyen de transport et si dans l'imaginaire collectif, avoir un cheval est demeuré synonyme de richesse et d'aristocratie, la pratique devient peu à peu un loisir, avec ses passionnés, et ses "cavaliers-clients" qui viennent monter une heure, mais qui ne font pas d'équitation, juste du sport. Pourquoi le cheval prend-il une telle place dans nos vies trépidantes? Peut-être parce qu'il est la projection de vieux rêves de puissance, de vitesse, de liberté, de beauté...peut-être aussi parce qu'il est, tout simplement, la source d'une sérénité qui manque cruellement?




LE TEST:
Découvrez votre alter-ego floral!

1. Vous préférez:
a) les choses sucrées - oh ouiii, du sucre, du sucre, du sucre! Oh ouii, des caries, du diabète, haha!
b) les choses chocolatées - qui a dit que sucre et chocolat, c'était pareil? Le sucre, c'est bon, mais le chocolat c'est chocolaté, d'abord.
c) les choses salées - vous reprendrez bien un peu de jambon fumé pour votre goûter?^^

2. Vous vivez:
a) au soleil - c'est pour ça que vous êtes tout rouge, Mr le crustacé?
b) à l'ombre - d'où votre couleur blanc vert, Mr l'endive
c) chez moi - vous êtes probablement le plus sage des trois.

3. Vous préférez:
a) Fasolla - avez-vous des tendances masochistes?
b) Stelmaria - à ce stade, ce ne sont plus des tendances.
c) Liberty - oh ouii, léchez moi les bottes, encore, c'est trop bon la flatterie!!

4. Vos paroles sont:
a) en rimes! - Bonjour vous,
Je suis heureuse de vous
Rencontrer, et vous?
b) adéquates -ah ouii, comme Fifi Brindacier. Parce que Fifi Brindacier, elle adéquate. (a des couettes^^)
c) Gné? - vous non plus vous parlez pas? Dans mes bras!

5. Vous seriez plutôt:
a) une fraise tagada. - rose, moelleuse et toute douuuce.
b) une tête brûlée - un bonbon qui piiique affreusement.
c) un chamallow - COPITEUR

6. Vous dormez:
a) sur le dos - vous n'avez pas peur que les mille-pattes se décrochent du plafond et tombent dans votre bouche?
b) sur le ventre - vous n'avez pas peur que les mille-pattes viennent courir dans votre dos?
c) sur la tête - c'est pour pouvoir écraser les mille-pattes au plafond avec vos pieds?

7. Un poulet traverse la route:
a) vous l'écrasez - c'est plutôt bon le tajine
b) vous l'attaquez au lance-flammes - miam le poulet rôti!
c) vous lui sucez le sang -c'est du tartare de poulet!!

8. Vous léchez une glace:
a) à la menthe - vous avez une langue verte?
b) au poireau - chacun ses goûts, hein...
c) nature - ça a un peu le goût de l'eau, c'est marrant non?

9. Vous préférez:
a) la chaleur - vous êtes tout racorni d'ailleurs.
b) le froid - pour ça que vous êtes tout bleu? UN SCHTROUMF
c) l'eau - pensez à respirer de temps en temps.

10. Le prof de maths vous regarde:
a) Vade retro, Satamaths! - un truc: si vous agitez un bouquin de grammaire, ça les fera fuir.
b) Dark Mathor - vous allez vous faire bazarder par Luke Skywalker, là. Ouais, le fils rebelle, qui a préféré faire de la physique-chimie.
c) Dora l'exploratrice, c'est toi? - Il est où le ln(2)? Cherche ln(2) sur le tableau et montre le du doigt pour m'aider à l'attraper!



/!\ Résultats:
Vous avez une majorité de a)
Vous êtes une plante carnivore, timbrée, sadique, agressive. Mais très jolie, oh oui, d'ailleurs on vous aime...héhé, vous attirez plein de gens dans vos filets et CROC, vous les mangez. Bravo, je suis fière de vous jeune padawan, continuez comme ça, c'est super!

Vous avez une majorité de b)
Vous êtes du muguet. Le joli moi de mai, où on cueille le muguet. D'ailleurs on est en mai, c'est pour ça que vous êtes là? En tous cas vous êtes gentille mignonne, les oiseaux chantent et les poneys roses cabriolent dans les champs où poussent de jolies fleurs...carnivore, oups, vous étiez là, les a)?

Vous avez une majorité de c)
Vous êtes une pauvre jacinthe, qui sent bon, qui est zoulie, mais tout paumée au milieu des plantes carnivores et du muguet. L'un chante des comptines, l'autre essaye de vous bouffer. Courage, résistez!!



LITTERATURE:

L’Ephémère

Au milieu des hautes herbes, bercées par la brise légère qui les faisait onduler comme une immense mer d’absinthe, un cocon se balançait comme u hamac au gré des mouvements de la végétation, raccroché par un fil aux feuilles fines de la plante qui le retenait au-dessus du sol. Blanc et cotonneux, il était presque invisible dans l’infini des herbes de jade. Blotti en son sein protecteur, une chenille velue attendait le temps de revoir la lumière du jour.

Le vent secoua les feuilles, la pluie les détrempa, le soleil les réchauffa. La chenille avait perdu tout contact avec le monde. Retirée dans son havre de paix, elle n’avait même plus conscience de ce qu’elle était, d’où elle était. En même temps que ses organes se métamorphosaient, son esprit changeait, devenait autre. Elle gagnait en intelligence et en astuce, en vitesse et en agilité. Bête rampante et répugnante, elle devenait peu à peu la plus gracieuse des créatures éphémères.

C’est un matin, tôt, alors que l’aube avait déjà livré au monde la boule d’or rougeoyant du soleil de cette fin de printemps et que la rosée luisait encore sur les feuilles, ravivant leur vert, tandis que les fleurs étiraient leurs corolles et libéraient dans l’air les délicats parfums dont elles avaient le secret, le cocon s’ouvrit, lentement. Une fente courut sur sa surface, puis il émergea, peu à peu, laborieusement, tout entier tendu par l’effort, ses pattes fines arc-boutées sur la surface lisse de la feuille. Il était encore humide des jours passés dans sa prison de fil, et, peu habitué à ce nouveau corps qu’il ne connaissait pas, encore gauche et maladroit.

Et au milieu des hautes herbes, sous le soleil du matin, hors de vue de bien des êtres, seuls dans le secret de la végétation, naquit une fois de plus la plus belle des créatures.

Debout sur la feuille qui l’avait retenu durant ces journées passées immobile, attendant que la métamorphose s’achève et que son corps devienne celui de l’être volant qu’il serait désormais, le papillon sentait ses ailes fines et délicates fripées et plaquées contre son thorax par leur trop long sommeil. Debout, vulnérable car encore incapable de s’envoler, il attendit durant quelques minutes que ses outils de survie sèchent et se déplient, révélant la délicate brillance des motifs bleutés sur ses ailes, les cercles et les teintes que le soleil révélait peu à peu sur la matière si fine qu’elle en devenait presque immatérielle.

Dès qu’il put le faire, l’être gracile s’envola, battant des ailes pour la première fois de sa vie, sans jamais avoir appris à le faire pourtant. L’instinct, sa mémoire ancestrale lui soufflait ce qu’il devait faire, et l’insecte fila dans les airs, sa course rapide sans cesse déviée par d’imperceptibles courants d’air qui emportaient sa fragile masse au gré de leurs jeux aériens. Sous ses yeux à facettes se dévoilait un monde tel qu’il ne l’avait jamais vu, jamais perçu lorsqu’il était encore chenille. Etait-ce le monde où il était né, cette profusion de couleurs, de formes, de rayonnements qui s’offraient à ses organes sensoriels ? Etait-il possible qu’il ait vécu dans telle magnificence sans même en supposer l’existence ? Qu’il était bon de voler !

De battement d’ailes en virevoltes, il atteignit un lieu plus frais et plus riche en couleurs et formes différentes. Curieux, le papillon s’approcha, puis fit demi-tour et repartit vers les fleurs d’un rouge éclatant qui l’appelaient de leur parfum entêtant.

Toute la journée durant, la première de sa jeune et courte vie, il butina les fleurs d’incendie sans penser à rien d’autre qu’au délicat goût du nectar. Savait-il, ce papillon, qu’il accomplissait ainsi un acte aussi ancien que les insectes et les fleurs, témoin de leurs liens ? Savait-il que, croyant dérober aux gracieux pistils leurs substances, au contraire, il leur permettait de se reproduire ? Le soleil se couchait, allumant sur le monde des étoiles de sang, lorsqu’il se retrouva à nouveau en cet endroit aux couleurs, aux senteurs, aux choses si différentes des entêtantes fleurs. Il voleta, de-ci, de-là, du rouge au bleu, de la lumière à l’ombre. Il n’avait aucune notion du temps, et ne savait pas s’il faisait jour ou nuit. Du rouge à la lumière, du bleu à l’ombre.

Flash. Le papillon fit un écart violent.

Dispensant sur lui sa clarté puissante, le Soleil se trouvait là. Sous ses yeux à mille facettes, devant ses ailes bleutées, l’astre de jour luisait, imperturbable. L’éphémère connaissait cette boule de feu si particulière. C’était elle qui, par sa luminosité, lui indiquait la succession des saisons, c’était elle qui réchauffait son fragile corps lorsque, perché sur les herbes, il attendait que le jour se lève, lui enfin qui avait séché le jour de sa naissance ses ailes fines, et qui lui avait permis, à lui, l’être de passage sur terre, étoile filante par rapport à l’éternité de l’astre de lumière, de déployer ses ailes et de voler. IIl était son Père, il était son Dieu, lui qui lui avait offert le monde et le ciel en cadeau.

Et voilà que lui, l’éphémère, se retrouvait plus proche qu’il n’aurait jamais rêvé l’être de son Dieu ! Frémissant de la tête à la pointe de l’abdomen, il s’élança, vers l’être immobile, envoyant dans les airs des parfums enthousiastes, espérant que l’astre lui répondrait. Ou, qu’au moins, il le laisse le rejoindre ! Devenir lumière, comme cette éternelle beauté !

La chaleur l’emplissait d’impatience et de vigueur. La chaleur montante ne le gênait pas, tout entier qu’il était tendu vers son but ultime.

Et lorsqu’il sentit ses ailes scintillantes brûler, il continua d’avancer, le cœur battant. Oui ! C’était cela qu’il voulait ! Devenir lumière, devenir feu et Soleil, devenir Dieu ! Ses yeux, aveuglés par la clarté de la boule de vie et de lumière, ne distinguaient plus le monde alentours. La chaleur montait sans cesse, de même que la lumière. Il continuait d’avancer, battant des ailes avec force dans son désir de rejoindre le Dieu.

Apothéose.

Il vit la lumière déferler sur lui, l’emporter, intégrer son corps et son cœur. La chaleur était si forte, pourtant il ne la sentait même plus. Il était la lumière, il était la chaleur. Il était le feu. Enfin, il fusionnait avec le Soleil, avec sa clarté, ses flammes, son impétueuse chaleur !

Le papillon se consuma dans une petite flamme et un frémissement de bonheur absolu.



L’homme fronça le nez, surpris par l’odeur de brûlé, et tourna dans la pièce, se demandant d’où elle pouvait bien provenir. Il finit par trouver en s’approchant de sa lampe à pied. Un petit papillon était tombé sur le verre de l’ampoule halogène, et avait brûlé rapidement. Ses ailes étaient désormais réduites en cendres, et son petit corps tout brun de l’intense chaleur du filament de la lampe. L’humain souffla sur les cendres pour les disperser et retourna à sa lecture en songeant que les papillons étaient bien stupides de se suicider ainsi.

Il ne pouvait pas deviner que le papillon était devenu lumière, et que l’accomplissement de sa vie se trouvait dans cette petite flamme qui l’élevait vers le Soleil, son Père et son Dieu.

Mais ce n’était pas le Soleil, et l’éphémère, comme l’assoiffé poursuivant, au cœur du désert, un mirage, avait quêté en vain une lumière illusoire, jusqu’à la mort.

Dans l’ignorance de la nuit, il avait poursuivi un Soleil artificiel, tournant le dos à l’Astre véritable et à sa lumière, hypnotisé par la perspective de devenir Soleil.

Mais il n’était ni feu, ni lumière, ni Dieu. Il n’était pas Soleil. Il n’était que mensonge et illusion.






PAROLES DE MEMBRES:

Stelmaria:NAN MAIS DITES DONC VOUS !!!
C'est quoi ce délire !!!! De l'acool sur le fow ???!!! è_é
Et vous m'invitez que maintenant ? =P

Et une réputation se bâtit sur de petites phrases comme ça...


Courage: *regard implorant et mouillé de larmes à la Chat Potté*
Personne n'a du café ?

Chhht, tu vas avoir ta dose, t'inquiètes x)


Stelmaria: EN RANG DEUX PAR DEUX ET QUE CA SAUTE ( non, toujours pas comme ca T_T )

Suis-je la seule a avoir eu une idée perverse en lisant cette phrase? Faut dire que, dite par Stelmy...


Pépite: Y a une araignée qui m'a grimpée dessus T.T
Stella: Une grosse ou une petite araignée ?

OBSEDEE


Liberty: Pépite, dans le contexte, quand tu dis qu'une araignée vient de te grimper dessus...
Euh bref, j'ai eu une vraie pensée grivoise là^^
Argh, ce foutu champagne, c'était un faux doux s__s
Pépite: Une trèèèèèèèèèèèèèèèèèès grosse ! Je l'ai éclaté avec ma pantoufle !

Aïeuh, ça doit faire vachement mal de se faire écraser par une pantoufle...c'est à vous dissuader de grimper.


Stella: Perverse.
tu devrais avoir honte èè

Elle a mis 8 messages à capter, adorable innocente!


Stella: J'ai l'immense honneur de vous annoncer un magnifique film/livre/bd :
Faso', ou le retour d'une nouille.

HUM.


Pépite: Fais des yeux rond à Frollo.

Mais il sort d'où lui? O__O


Black Moon: "Bonbon !!"
Lizzi qui avait FAIM saute sur chamallow'.
"Faim faim !"
Monte sur le dos de la voleuse de bonbons.

Le sucre nous pousse à de terribles extrémités! Pire que le café, héhé.


Lei: euh ... Faso' au pouvoir ?

C'est pas grave, tu vas juste mourir.


Liberty: *bon sang, elle va me faire le coup d'Etat du 18 Brumaire si je fais pas gaffe, et après ce sera Faso' impératrice. OMFG*

Faso' veut devenir calife à la place du calife. C'est Faznogoud!!





OH, et quand même, applaudissons Pépite d'Or qui réussit l'exploit d'être:
- la RPGiste la plus active de la semaine *Clap Clap*
- la RPGiste la plus active du mois *Clap Clap Clap*
- la quatrième meilleure posteuse juste après Faso', Stelmy et moi *Clap Clap Clap Clap*
Notons également que nous avons passé le cap des 15 000 messages postés, des 1 000 sujets, des 70 utilisateurs inscrits, et des 1500 jours d'existence pour le forum! Et précisons enfin que Avril a été, et de loin, le meilleur mois (pour le moment) du forum, en nombre de sujets, de messages, et nouveaux inscrits, alors bravo et merci à tous!!
(oui, j'ai redécouvert le bouton "statistiques" tout en bas de la page!)

BRAVO FIFI K-ROTTE !!! *clap clap*

Aaah ! Je viendrais plus si j'avais le temps...

Je sais bien, mais bon, on doit tous organiser notre emploi du temps tant bien que mal! Si je m'écoutais je serais là toute la journée, hélas j'ai quelques obligations xD
T'inquiètes pas, on te pardonne

Maaaaarci ! ^^

Bravo Pépite !!

Pépite meilleure posteuse? Impossible xD Bravo *clip clap clope*

VIVE MOAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!! *w*

et les chevilles, ca va ? Une saignée, peut -être ?

Non non, tout va bien (a)

xD rhoooo dommage ^^

Spice di sadique ! X'D

Espéce de vilaine méchante pas belle jalouse ouais è.é

Maieuuuuuh ! XD

*explose de rire en répétant "S'pice di sadique" dans toute la pièce*

Mon chat vient de me rendre cardiaque, hier. Pleine nuit, orage, j'avais ouvert les volets parce que j'aime l'orage. Un instant je m'assied à mon bureau, il fait sombre, seul l'ordi est allumé, imaginez l'ambiance...là j'entends un craquement à la fenêtre. Un mouvement dans la limite du champ de vision à gauche, vous savez, où on perçoit les mouvements seulement...Un gros "BAM" sur le plancher. J'ai sauté sur mes pieds avec un "Yaargh".
C'était juste le chat qui était rentré par la fenêtre x__x

Tu aimeras moins ouvrir les fenêtres lors d'un orage maintenant ! MDR

"Spice de Sadique..." J'ai sortit ca a mon prof de SVT une fois xD

Chat fou et élève rebel... Vive ici quoi xD

*Aspi est morte de rire devant son écran*

Je viens de re-lire le journal (ben voui, quant on est malade on a rien à faire de ces journées --') et je tiens à préciser que Frollo était le prêtre de mon mariage xD !

Ah ce Romain (aka Frollo, je le connais IRL ^^)...Il ne changera jamais !

D'ailleurs ! Je suis en train de lire NDP version ORIGINALE s'il vous plais. J'en suis au début et c'est euuh... palpitant xD

x) J'ai rien contre Victor Hugo, mais c'est pas par NDP qu'il faut commencer si tu veux lire une de ses oeuvres, c'est celle que j'ai trouvé la plus louuurde...Eventuellement, Les Châtiments (poèmes), ou bien Les Misérables, même si on est assommés de considérations politiques parfois, et puis Le Dernier Jour d'un Condamné, pas mal non plus.
Mais oui, c'est redoutablement lourd, NDP. Honnêtement, j'ai pas aimé du tout.

Ben, j'aurais bien voulus commencé par autre chose... s'il y avait autre chose xD ! Mais il n'y avait rien dans ma bibliothèque qui était de Victor Hugo à part sa. Puis tout d'un coup j'ai commencé à me passioné de cette histoire, cette amour qui les séparent. Tous.
Le plus lourd, se sont les descriptions à rallonge, et les mots que je ne comprends pas forcement. Et puis je n'ai pas encore étudié cette époque en histoire alors quand il parle par exemple du Palais de Paris brûlé après l'assassinat de Henry IV, je ne vois pas de quel Palais il parle.
Mais sinon, je suis en train de le dévorer, doucement (600 pages, pire que la Bible xD). Mais j'ai fais de ce livre une passion. Je me mets dans la peau du personnage comme je fais par exemple avec Pépite d'Or. Puis je trouves ces personnages tellement... "réel" !
En Pierre Gringoire, on retrouve un peu celui qui rêvé de gloire et qui se voit l'arracher (ex : DSK qui se verra passer sous le nez les présidentielle), en Clopin l'homme qu'on n'écoute pas, ou plus (ex : un SDF aveugle dont j'ai entendus parler qui ne recevais pas d'argent avant qu'un poète ne modifie sa pancarte) ect.
Non vraiment, je trouves le début superbe.

"Répéter, déformer, amplifier, tronquer", telle est ma devise xD

C'est pas bien Cham'! On est déjà assez déformés comme ça (enfin moi), sans que tu t'attaques en plus à nos paroles de dingues!