Journal, Février-Mars 2012

Critiquons, mes amis !

Oui, j’en ai assez de parler pour ne rien dire. Flûte. Zut. Cacahuète, quoi…Alors aujourd’hui, je me suis dit que j’allais vous cultiver, ou en tous cas m’essayer à commenter un roman que j’ai lu. Oui, un roman. Reviens ici Pépite, c’est pas si grave, ah la la ! Je vous préviens, je n’ai rien d’un critique littéraire, pas l’intention de le devenir ; ce que je commente, je le commente au vu de mon ressenti, et je n’ai pas les qualités pour juger d’un point de vue « académique ». Je m’attarderai plutôt sur ce que fait ressentir…ou pas le livre. Si vous avez des livres que vous aimeriez voir commenter, si vous voulez vous-même commenter un livre, je me ferais un plaisir d’écouter vos suggestions (mais comprenons-nous bien, j’ai un petit budget, donc bon !), ou de vous laisser le devant de la scène.

Ayesha, la Légende du Peuple Turquoise
Mais revenez, bon sang de cacahuète !
C’est un roman qu’on peut classer dans le genre de la Fantasy. Il se déroule dans un monde imaginaire, des provinces assez désertiques, clairement des provinces du Sud, avec déserts, montagnes arides, mer, grottes et villes où l’eau est une denrée précieuse, au point que sitôt qu’une guerre prive d’eau une cité, les hommes deviennent des loups prêts à tuer pour une gourde…
Pourquoi je l’ai aimé ?
Principalement pour la richesse de l’univers qu’il dépeint, et en si peu de lignes ! Là où le Trône de Fer s’attache aux hommes, à leur culture, et suit pendant des volumes, des pavés entiers ses personnages dans les moindres de leur pérégrinations, Ayesha boucle l’aventure en trois volumes, et l’œuvre entière tient dans un seul volume de l’Héritage. Là-dedans sont décrites des cités et leurs coutumes, des royaumes entiers, divers cultes et autant de communautés au sein de la société des différents pays intervenant, et je ne parle pas des personnages. C’est donc un roman dense, et ne vous attendez pas à de monstrueuses phases descriptives ! Mais elles sont placées à bon escient, par les yeux des personnages le plus souvent.
Le point de vue est en effet interne et « saute » d’un personnage principal à un autre, avec trois ou quatre protagonistes seulement, et encore, pas tout au long de l’histoire. Ainsi, si Arekh et Marikani, les deux « grands héros » de l’histoire, sont majoritaires dans ces chapitres, nous en croiseront aussi deux autres, Harrakin et Non’iama. Ils sont rarement ensembles, et le narrateur nous peint souvent des évènements se déroulant au même endroit et à des kilomètres de distance. Qu’importe, on n’est pas perdu ! L’écriture est claire, mais le vocabulaire agréable, les phrases « bien lissées », avec un fond d’ironie qui prête parfois à sourire et apaise un peu la tension.
Car le ton du récit est clairement dramatique. Je ne veux pas spoiler, mais l’histoire nous mène crescendo et joue avec tous nos espoirs, la moindre de nos attentes. L’auteur, enfin, les auteurs puisqu’ils ont été deux, excellent dans l’art de maintenir le suspense. Je m’en porte garante, dès que les personnages sont séparés, on retient son souffle pour savoir quand et comment ils vont se réunir !
Les personnages…ils sont de vrais bijoux à eux tous seuls. Leurs actes et leurs caractères nous les rendent terriblement proches, si humains qu’on leur collerait des claques quand ils balancent allègrement, par une réaction bien orgueilleuse, stupide, héroïque, en bref purement humaine, en l’air tous nos espoirs. Ils ont tous leur histoire propre, remarquablement exempte de clichés (comparé au roman de fantasy « de base » où on a dans l’ordre : l’élu qui ne sait pas qu’il est l’élu, le bon copain rigolard et loyal contre vents et marées, la superbe fille dont il est fou amoureux et qui est inaccessible, le mentor énigmatique et drôlement sage, et l’ennemi surpuissant-méchant-vilain-pas beau rayez la mention inutile). Leurs caractères sont ciselés à la perfection, torturés, tyranniques aussi, mais ils savent s’offrir le luxe d’une action complètement folle et imprévisible. Probablement certains des personnages les plus humains que j’aie pu connaître au cours de ma vie de lectrice, au rang de ceux de l’Assassin Royal, du Trône de Fer, ou des romans de Steinbeck. On s’attache à eux, à eux tous même si on a son favori. Je ne m’attarderai que sur un personnage, car sur les autres ce serait spoiler…sur Piers, l’historien, dont un écrit sur le Peuple Turquoise, le peuple maudit et condamné à l’esclavage, ouvre l’aventure, et dont un autre écrit la clôt, de façon poignante.
Car, autant vous prévenir, ce roman est un petit bijou, terriblement beau et terriblement triste, ou plutôt amer. C’est un constat d’échec, la fin totalement inattendue et que rien, à première vue, n’aurait su prévoir est d’une beauté et d’une tristesse surprenantes. Elle est rapide, l’histoire se dénoue ou plutôt se noue en quelques pages et nous laisse complètement hagards, avec l’envie de s’écrier : « Hein ? Quoi ? Mais non, ce n’est pas possible ! ». Elle est aussi le révélateur de tout le thème et toute la profondeur du livre. Si nous l’avions parcouru une première fois sans tout saisir, elle pousse à le relire et à lire sous l’aventure, sous les mots, la pensée.
Car Ayesha vogue sur deux grands thèmes : le fanatisme religieux et le racisme. Deux thèmes glissants, soit dit en passant, mais que le roman réussit à traiter sans y toucher, avec délicatesse, du bout du doigt, sans que nous le voyions faire avant d’arriver sur le constat de la fin. Aucune leçon de morale, aucune opinion assenée par un personnage où transparaîtrait la pensée de l’auteur. On pourrait relire chaque ligne et l’interpréter, vue sous ce nouvel angle.
Voyons voir, qu’est ce que je pourrais quand même reprocher à Ayesha ?
D’abord, c’est un roman qui n’est pas à mettre entre toutes les mains. Il est violent, mais pas de la violence du Trône de Fer où les têtes volent et où les chevaliers troussent allègrement les filles. Non, c’est plus insidieux, plus dans l’idée que dans l’aventure elle-même. Deuxièmement, il est très pessimiste. Pour ne pas dire déprimant…je vous préviens, il risque de vous laisser triste et amer, mais en même temps avec l’envie terrible de le relire. Addictif, mais qui ne laisse pas indemne !
Quelques relations joliment esquissées, comme celle d’Arekh et de Non’iama, auraient été, peut-être, à peindre un peu plus nettement, à approfondir. Et puis surtout, à mon sens, l’intrigue avance bien trop rapidement dans le milieu du roman, où on se retrouve à bondir de droite et de gauche, avec parfois le sentiment d’être pris dans le tourbillon, presque d’être perdu. C’est dommage, car le reste du temps, le rythme est bien géré ; c’est le seul moment où le roman pêche un peu.

En conclusion, Ayesha peut donner une ou deux fois l’impression d’être « survolé », mais c’est bien rare et le reste du temps, la complexité de l’univers, le tact des auteurs concernant certaines scènes ainsi que la trame de fond du récit, c'est-à-dire le racisme et le fanatisme, leur doigté dans la gestion du suspense en font une superbe œuvre, encore magnifiée. A lire deux fois, et non pas une, car la fin éclaire d’un jour nouveau le livre. Je l’ai lu la première fois quand j’avais 16 ans, il m’a plu, mais je l’ai relu trois fois pour réellement saisir la teneur plus profonde du récit. Récemment, je l’ai acheté sur mon Kindle, et je l’ai lu et relu.
Et la magie reste intacte, il me tourneboule toujours autant et peut-être plus.

Ayesha, la Légende du Peuple Turquoise, par Ange
Disponible en trois tomes à environ 7,00€ pièce (édition J’ai Lu, collection « Fantasy ») d’environ 200 pages chacun.
Disponible vers 5.00€ pièce en téléchargement sur la plateforme Amazon.fr (donc uniquement en format Kindle, je ne sais pas sur les autres plateformes).

Nom de la série pour les tomes poche: Les Trois Lunes de Tanjor.
Tomes : Le Peuple Turquoise, La Flamme d’Harabec, La Mort d’Ayesha.

Disponible en édition intégrale brochée à environ 21€ neuf sur amazon.fr, titrée Ayesha, la Légende du Peuple Turquoise (édition Bragelonne, collection « Fantasy », 611 pages) ; grand format. Une belle édition, si vous aimez les grands formats.



Test : Quelle chanson pour vous ?

1. Quand on parle du loup…
a) …on en voit la queue. – j’étais sûre que Stelmy trouverait cette réponse.
b) …on voit arriver Kimba. – retourne dans ma tête, toi !
c) …c’est qu’on l’a vu passer – ma foi, pragmatique comme une MPSI, celle-là.

2. Vous préfèreriez :
a) Que Renji vous saute au cou. – c’est vrai que c’est plus agréable qu’à la gorge.
b) Que Pépite se taise. – elle dit ce qu’elle fait, elle fait ce qu’elle dit, elle dit…mais tais-toi donc !
c) Que Stelmaria s’éloigne de vous. – Si vous lui jetez un Bogoss, elle ira le chercher, ça vous permettra de vous sauver discrètement.

3. Un beau garçon vous jette une fleur :
a) Vous aboyez en remuant la queue avec enthousiasme. – et en regrettant que ce ne soit pas un no-nosse.
b) Vous attrapez la fleur. – attention, son propriétaire la suit de près !
c) Vous attrapez le garçon. – vous êtes le digne membre de ce forum !

4. Sur la plage, cet été, vous avez lu :
a) Un magazine people. – qui titrait « Black Hole et Pépite : les feux de l’été. »
b) Un magazine de tuning. – qui titrait « Tigre blanc : customiser son fauve. »
c) Un magazine de mode. – qui titrait « La Malédiction des Thars : que porter avec le rouge ? »

5. Hier, vous avez mangé :
a) Un steak cuisson bleue. – quand il bouge encore, c’est plutôt un steak cuisson incolore.
b) Un œuf à la coque. – ou deux, ces petites choses ovales et délicates sont si bonnes par deux…
c) Autre chose. – vous voulez une bonne recette de grand-mère ? 20 min au four, mais sans les lunettes.

6. Vous pratiquez régulièrement :
a) La langue de vipère. – l’avantage, c’est que ça muscle la langue et que c’est jouissif. Comment ça, cette remarque est tendancieuse ?
b) L’équitation. – et mettez-vous pied à terre quand le cheval ne tourne pas ? Pépite, haha, démasquée !
c) La natation. – pensez à remonter de temps en temps, c’est utile, parce que sinon vous finirez par verdir.

7. Pour vous un chou, c’est :
a) Un beau gosse. – évitez de le manger braisé, il appréciera.
b) Un film avec une histoire de soupe. – un fleuron de l’humour français : finesse, délicatesse, élégance.
c) …un chou, et cha ch’gaspille pô ! – auriez-vous des origines auvergnates ?

8. Complétez ces paroles : « C’est un fameux trois-mâts… »
a) …fin comme un oiseau. – si fin que ça ? C’est bien triste.
b) …Hissez-les haut ! Santiano ! – De quoi, les bateaux ?
c) …Moi, je connais une autre chanson avec des mâts. – ouuh, et moi qui prenais Fasolla pour une jeune fille bien élevée.

9. Il n’est pas un peu tendancieux ce test ?
a) Si, laissez-moi le réécrire. - …non, pas toi, Stelmy. Sinon ce ne sera plus « un peu ».
b) Mais justement ! – mais dégage de mon test, Stelmy !
c) Une fois, ma sœur s’est fait mordre par un élan. – Les responsables du générique ont été virés. Cf le générique de Sacré Graal des Monty Python pour l’ignare qui n’a pas saisi l’allusion.

10. Bon, il est tendancieux, non ?
a) Oui, mais ça peut s’arranger, laisse-moi faire. – Bon, sécurité ? Bâillonnez moi Stelmy.
b) M’en fous, j’ai toujours des doigts pour taper et pour…BIIIP. – qui a mis une censure sur le forum ? ô_O
c) Mhmmm. – qu’elle est reposante quand elle est ligotée, bâillonnée et attachée à un montant de lit, ma Stelmy.



/!\ Résultats !
Si vous avez une majorité de a) : Eh bien, si vous avez été choqué par ce test, la meilleure chanson pour vous demeure, contre vents et marées, la chanson des Bisounours. Ne pleure pas mon petit, quand tu seras plus grand, Maman te laissera écouter la chanson des Schtroumfs mais là, ce n’est pas de ton âge.
Si vous avez une majorité de b) : J’ai la chanson qu’il vous faut ! Vous correspondez magnifiquement au panel ! C’est pile pour ça que j’avais prévu la chanson ! Pour de vrai ! Cliquez ici : la chanson à laquelle vous correspondez si bien. Satisfait ou remboursé.
Si vous avez une majorité de c) : Je vais vous enseigner les paroles d’une chanson merveilleuse…vous avez plus de dix-huit ans ? Pour de vrai ? Non, mais ma chère Reine des Quiches, je sais bien que tu as moins de dix-huit ans, dis donc. Allez, tant pis. Complète les paroles…
« L’avion l’avion l’avion, ça fait lever les yeux !
Les femmes les femmes les femmes, ça fait… »
Complète toute seule, sinon on va m’accuser de corruption de mineure.



Paroles de Membres...

Spoiler:

Voilà, monsieur le policier. Non, pas de représailles, c'est plus délicat. Je veux le nom, l'adresse et les coordonnées de son fournisseur. Oui oui, pour usage personnel!!

Spoiler:

Mais oui, c'est ça, ricanez! Je n'ai pas réussi à invoquer la Rouge, d'accord, mais en attendant, j'y étais presque, non? Si si, de certains points de vue, Pépite, c'est presque Stelmy. Et puis zut, vous noterez que j'ai quand même réussi à invoquer quelqu'un. Bon, je suis pas mûre pour appeler Bartimeüs, mais je progresse, et un jour je pourrai plier tous les démons de ce monde à ma volonté. Au passage, il faut que je pense à remercier monsieur le policier pour m'avoir fourni les coordonnées du fournisseur de Pépite

Spoiler:

Il fallait bien que je vous poste un petit extrait de la soirée CB...pour la petite histoire, nous n'avons toujours pas le contrat à l'amiable, donc, si quelqu'un veut tenter...sinon, je cherche aussi des candidats pour vérifier ma théorie. Et notez également le don qu'a Pépite pour casser l'ambiance.

Spoiler:

Perdu, ma Stelmy, quelqu'un t'avait vu...et c'était moi. Merveilleuses archives, c'est pas parce que je suis en prépa que je ne vais pas voir sur le forum quand tu me dis que tu as "fait des bêtises sur la CB", héhéhéhé.

Spoiler:

Blasphème a perdu presque exactement deux minutes à regarder toutes les vingt secondes si quelqu'un allait la rejoindre. Si seulement l'intervention de Stelmy n'avait pas brisé toutes les bonnes volontés! Il y a de quoi avoir peur quand on croise ces deux là à la suite, non?



Allez, Renji, tu y as échappé de justesse, je t'interrogerai la prochaine fois, mais là, avec les dossiers que j'avais!

Pourkeuwa meuwa ?! T.T

Pourquoi toi quoi?

Zut, elle m'a pas oublié O.O J'ai le droit de mourir de rire? =D

Si tu veux, je pourrai quand même interviewer ton cadavre? =)

S'il est bavard xD CB? J'dois te parler d'un truc pour le RPer, c'est plus simple que les MPs =D

xD Trop bon.

Au fait, maintenant que j'y pense, ceux qui ont des "dossiers" (y compris sur moi =D ) et veulent qu'ils soient publiés dans le journal, MP...à la seule condition que ça reste bon enfant, et rien sur la vie privée!
Au passage, si vous voulez participer à la rédaction du journal, je veux bien^^

*meurt*

Ohnan, c'était celui-là XDD !
Extra le journal, sinon ^^ !

Liberty, en tant que reine des quiches, je proclame que pour la suite de ta chanson va voir dans le four, je suis sure que tu y trouveras la suite ainsi qu'une quiche enragée pays des bisounours. Et j'ai beau être selon ma prof de sport un bisounours j'ai l'âe d'écouter la chanson des schtroumpfs! Mais pas vraiment la tienne de chanson. Je ne mettrai la suite, je suis trop timide et j'ai pas envie de faire de boulette... Comme une quiche!

Pour ton livre, c'est intéressant. Et super journal!

(J'espère que ton allusion reine des quiches parlait de moi sinon j'aurais vraiment l'air quiche avec mon message.)

Je me tâte a acheter le bouquin ^^
Muahaha, j'espère que l'élaboration du test s'est terminé autrement que sur moi attachée et bâillonnée a un montant du lit ! (sinon, ma foi, tu vas voir qui va finir ligotée avec une pomme dans la bouche ! è_é )

Ah, la CB... quelle belle invention... pour ces paparazzis >_<

Sinon, géant, comme d'hab Chamallow !

Si t'aimes le genre fantasy, franchement il est très sympa à lire. En tous cas, j'ai accroché \o/
Nan nan, j'en suis restée à ce stade là...et non, pas une pomme, une pomme ça fait un peu trop "cochon de lait", je trouve... x)
Feuillette: oui oui, c 'était toi la quichette \o/

Houuuuuu d'accord. Pas douée la quiche... Faut dire qu'elle est quiche! Et selon sa prof de sport bisounours aussi! Vivement le prochain numéro du journal!

La prof de sport bisounours?

Non non. Enfaite, la prof c'est Darkvador, c'est compliqué. Je suis à un club cinéma au collège, et pour trouver un synopsis à un moment j'ai déconnée et j'ai sortit:
Les bisounours vivaient tranquillement dans leur monde bisounours et pendant ce temps, Dark vador dans son vaisseau voyait sur la carte de la galaxie que le pays des bisounours n'était pas encore conquis. Alors il a décidé de conquérir les bisounours...

Super le synopsis --'. Bien entendus il n'a pas été retenu et depuis la prof de sport m'appelle moi, Nathalie et Nicolas, les bisounours. Et j'avais sortit ce truc que parce que celui qui anime le club (un surveillant) avait dit que comparé au autres avec leur synopsis, Nathalie et moi c'était pays des bisounours. Surtout moi. Voilà, reprenons les termes de mon prof d'histoire: voilà pour la petite histoire!

Si tu veux tu peux aussi être un bisounours^^! (un petit bout du subconscient qui entre dans le conscient. Plus communément et compréhensivement appelé Pétage de plomb!)

*Saute sur le dos de la reine des quiches*

Vouiiiii moi aussi veut être un bisounours! 8D

*S'écroule sous le poids de Dream et marmonne un truc incompréhensible*

Qu'elle couleur??

Buuuuh je sais pas trop! >.<

BOn c'est une décision difficile à prendre alors de réfléchis bien et te donne ma réponse plus tard, ok?

*sort son petit carnet, gribouille un truc dessus, puis met son stylo derrière son oreille*

*meurs* Cham, pourquoi tu me PWNED à chaque fois que tu écris de gros trucs...?

And fuck yeah, ASPI IS BACK !!

GRAOUUUUH GALOUUUUUUU
*saute sur le dos de Galou*
Tu es làààà *__*
*super-méga-hug-de-la-mort-qui-tue-par-étouffement*

*HUG CHAM TRÈS TRÈS FORT*

Dis ? EN parlant de ça, je t'ai envoyé une note perso sur Da. Tu peux y répondre, please ? ^^

Comment j'ai l'art et la manière de remplir les paroles de membres MOUAH ! Et Cham', pourquoi tu voulais le nom d'mon fournisseur O: ?

T'as pas encore compris que Cham' était une sadique ?? X'D

Dis donc toi è__é
Ben, parce que t'avais l'air de passer un très bon moment, écoute!!

Au lieu de râler, viens donc voir ma nouvelle fiche ==> https://wildhorses.1fr1.net/t2281-amaelle-solitaire